jeudi 4 octobre 2007

debilidade


"La maladie me libéra lentement : elle m’épargna toute rupture, toute démarche violente et choquante (…). La maladie me conféra du même coup le droit à un bouleversement complet de toutes mes habitudes ; elle me permit, elle m’ordonna l’oubli, elle me fit le cadeau de l’obligation à la position allongée, au loisir, à l’attente et à la patiente… Mais c’est cela justement qui s’appelle penser"
Nietzsche

Aucun commentaire: